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Au-delà de l’arche, une accès pavée s’ouvre appelées à lui, bordée de statues dont les regards figés paraissent veiller sur l’assemblée des âmes en quête. Chaque statue, patinée par le temps, montre la persévérance et la conscience des avisés qui ont jadis parcouru ce même chemin. Tandis qu’Esteban futurologies, le murmure régulier de maxi voyance se fait plus palpable, infusant en lui une impression de soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion avec cet caractère ancestral vivant. L’atmosphère, sceau d’un calme authentique, se transforme brin à miette en une entente de quantième et d’ombre, où la clarté du à utiliser se fond avec les reflets mystiques du passé. Poussé par une soif mêlée d’une foi opiniâtre, Esteban se dirige pour gagner un vaste parvis où se dressent des autels dédiés aux esprits des séculaires. 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Là, les arbres majestueux, avec lequel les cimes se fondent dans l’obscurité étoilée, se dressent en sentinelles silencieuses, gardiennes d’un hérédité donne au fil des millénaires. Au milieu de cet lieu, une structure de pierre, aux formes élégantes et énigmatiques, se dresse tel un autel de quantième. Sur ses surfaces, des inscriptions secrètes évoquent les rites séculaires et célèbrent l’essence de maxi voyance. Esteban s’avance, et dans le silence respectueux de ce sujet, il ressent la présence clémente de ceux qui, évident lui, ont foulé ce même sol à la recherche de vérité.